Le 28 janvier 2019, la Belgique a adopté son nouveau Plan d’action e-santé 2019-2021. Il fait suite au Plan e-santé 2013-2018, dont 72 % des objectifs ont été réalisés :
• le portail patient national (le Personal Health Viewer) ;
• La e-prescription, qui est obligatoire depuis juin 2018 (en novembre 2018, près de 16 000 médecins ont prescrit 4 388 400 ordonnances électroniques, soit près de la moitié de toutes les prescriptions) ;
• l’attestation et la facturation électronique, de plus en plus utilisées ;
• les échanges sécurisés d’information entre médecins et publication de Sumehrs (résumé électronique de données médicales de patients) ;
• l’usage croissant de la messagerie sécurisée (eHealthBox) ;
• le système de validation d’applications mobiles santé ;
• l’accélération de l’informatisation des hôpitaux (15 % des hôpitaux généraux ont un DPI quasi intégré, 75 % utilisent la prescription électronique, 60 % ont un dossier infirmier informatisé) ;
• la mise en place dans les trois régions d’une structure permettant à l’ensemble des prestataires de soins de suivre des formations permanentes dans le domaine de la e-santé ;
• la mise à disposition de l’application BelRai, un outil de collaboration pour prestataires de soins intervenant autour d’un patient.
La nouvelle stratégie 2019-2021 adresse les points d’amélioration du premier plan e-santé de la Belgique. Il se conforme aux principes suivants :
• coopération inter-fédérale ;
• poursuite des projets en cours et/ou les étendre à de nouvelles cibles ou champs d’application ;
• excellence opérationnelle et suivi des opérations pour sans cesse améliorer la disponibilité et la performance des systèmes et outils utilisés par professionnels et patients.
• Intérêt porté sur les initiatives e-santé européennes et internationales
Le Plan d’action 2019-2021 est composé de sept clusters de 44 projets interdépendants, présentés dans l’indicateur préparé par Health & Tech Intelligence.
• le portail patient national (le Personal Health Viewer) ;
• La e-prescription, qui est obligatoire depuis juin 2018 (en novembre 2018, près de 16 000 médecins ont prescrit 4 388 400 ordonnances électroniques, soit près de la moitié de toutes les prescriptions) ;
• l’attestation et la facturation électronique, de plus en plus utilisées ;
• les échanges sécurisés d’information entre médecins et publication de Sumehrs (résumé électronique de données médicales de patients) ;
• l’usage croissant de la messagerie sécurisée (eHealthBox) ;
• le système de validation d’applications mobiles santé ;
• l’accélération de l’informatisation des hôpitaux (15 % des hôpitaux généraux ont un DPI quasi intégré, 75 % utilisent la prescription électronique, 60 % ont un dossier infirmier informatisé) ;
• la mise en place dans les trois régions d’une structure permettant à l’ensemble des prestataires de soins de suivre des formations permanentes dans le domaine de la e-santé ;
• la mise à disposition de l’application BelRai, un outil de collaboration pour prestataires de soins intervenant autour d’un patient.
La nouvelle stratégie 2019-2021 adresse les points d’amélioration du premier plan e-santé de la Belgique. Il se conforme aux principes suivants :
• coopération inter-fédérale ;
• poursuite des projets en cours et/ou les étendre à de nouvelles cibles ou champs d’application ;
• excellence opérationnelle et suivi des opérations pour sans cesse améliorer la disponibilité et la performance des systèmes et outils utilisés par professionnels et patients.
• Intérêt porté sur les initiatives e-santé européennes et internationales
Le Plan d’action 2019-2021 est composé de sept clusters de 44 projets interdépendants, présentés dans l’indicateur préparé par Health & Tech Intelligence.