À deux jours de la généralisation de la téléconsultation et du remboursement par la Cnam, Health & Tech Intelligence relaie la tribune du Dr Pierre Simon, ancien président de la Société française de télémédecine (SFT), dans laquelle il pose la question des outils associés à la mise en œuvre de la téléconsultation, aussi bien du côté des professionnels (médecins organisateurs ou prescripteurs de la téléconsultation (TLC)) que du côté des patients vivant à domicile ou dans des substituts du domicile (Ehpad), en partant du constat que la plupart des médecins généralistes ne savent pas comment procéder pour mettre en place une téléconsultation.
Conseiller général des établissements de santé au ministère de la Santé de 2007 à 2009 et co-auteur du rapport intitulé La place de la télémédecine dans l’organisation des soins(2008), il met en garde contre le manque de formation des médecins face à cette pratique et avant tout contre les atteintes de la confidentialité des données de santé à caractère personnel que le recours aux outils inadaptés pose.
La liste des questions à se poser et des outils dans le cadre d’une téléconsultation ne se veut pas exhaustive mais vise à mettre en garde les médecins qui veulent développer la TLC à partir du 15 septembre 2018 pour :
• « ne pas s'égarer dans des solutions »grand public« qui mettraient en danger la confidentialité des données de santé à caractère personnel et bien évidemment leur responsabilité ;
• éviter des dérives possibles de pratiques de télémédecine qui mettraient en danger la confidentialité des données de santé à caractère personnel. »
Il prône l’usage des logiciels professionnels de visioconférence qui garantissent la confidentialité des échanges car les outils grand public ne garantissent pas la confidentialité des données de santé à caractère personnel et entraînent un risque de violation du secret médical.
Conseiller général des établissements de santé au ministère de la Santé de 2007 à 2009 et co-auteur du rapport intitulé La place de la télémédecine dans l’organisation des soins(2008), il met en garde contre le manque de formation des médecins face à cette pratique et avant tout contre les atteintes de la confidentialité des données de santé à caractère personnel que le recours aux outils inadaptés pose.
La liste des questions à se poser et des outils dans le cadre d’une téléconsultation ne se veut pas exhaustive mais vise à mettre en garde les médecins qui veulent développer la TLC à partir du 15 septembre 2018 pour :
• « ne pas s'égarer dans des solutions »grand public« qui mettraient en danger la confidentialité des données de santé à caractère personnel et bien évidemment leur responsabilité ;
• éviter des dérives possibles de pratiques de télémédecine qui mettraient en danger la confidentialité des données de santé à caractère personnel. »
Il prône l’usage des logiciels professionnels de visioconférence qui garantissent la confidentialité des échanges car les outils grand public ne garantissent pas la confidentialité des données de santé à caractère personnel et entraînent un risque de violation du secret médical.