Cette édition constitue un véritable succès avec 35 vidéos valorisant un large éventail de pratiques. Sont notamment représentés dans les vidéos 12 régions participantes, 16 spécialités médicales, 3 secteurs d’exercice, du salariat et des activités libérales, ainsi que 4 types d’actes de télémédecine : téléconsultations, télé expertise, télésurveillance et téléassistance.
« Parlez-nous télémédecine » est un jeu concours organisé par le ministère des solidarités et de la santé du 6 décembre 2018 au 15 avril 2019 dans le but de promouvoir le développement de la télémédecine. Destiné à l’ensemble des équipes ayant participé à la mise en place d’un projet de télémédecine, il permet de partager les expériences de chacun et donner à d’autres professionnels de santé l’envie de se lancer dans l’aventure.
Cette édition constitue un véritable succès avec 35 vidéos valorisant un large éventail de pratiques. Sont notamment représentés dans les vidéos 12 régions participantes, 16 spécialités médicales, 3 secteurs d’exercice, du salariat et des activités libérales, ainsi que 4 types d’actes de télémédecine : téléconsultations, télé expertise, télésurveillance et téléassistance.
0 Commentaires
Le projet de loi d'organisation et de transformation du système de santé est définitivement adopté au Parlement ce 16 juillet. Les sénateurs ont en effet validé à leur tour le texte de compromis élaboré en commission mixte paritaire.
Revue des principales modifications retenues au sein des 81 articles du texte final. Fin de course parlementaire pour le projet de loi relatif à l'organisation et à la transformation du système de santé. Le texte de compromis établi par les parlementaires en… « Développer les téléconsultations sans restrictions au niveau des CeGIDD (Centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic) et des centres et associations habilités pour la prescription de la Prep et du TPE (traitement post-exposition) ». Il s’agit de la proposition n° 9 du rapport d’information rédigé par la sénatrice Corinne Imbert (LR, Charente-maritime) au nom de la commission des Affaires sociales du Sénat sur la politique de prévention et de prise en charge du VIH.
Ce document, dépose le 3 juillet 2019, fait suite à l’enquête réalisée sur le sujet par la Cour des comptes à la demande du Sénat. Corinne Imbert estime que la télémédecine peut... « Dans des conditions de détention, le recours à la télémédecine est indispensable(…) tant pour améliorer l’accès à certaines spécialités médicales (dermatologie, ophtalmologie, consultations de pré anesthésie) [que] pour éviter des transports souvent difficiles ». C’est ce qu’affirme le gouvernement dans le dossier de presse de présentation de sa feuille de route relative à la santé des personnes placées sous main de justice, publié le 2 juillet 2019.
L’exécutif estime que « dans le prolongement de la généralisation de la télémédecine depuis 2018 », cette possibilité « doit également être offerte aux personnes détenues ». Il prévoit pour ce faire de « doter d’une offre de télémédecine la majorité des unités de soins en milieu pénitentiaire (USMP) ». Il est précisé dans le dossier de présentation que « certains actes médicaux ne peuvent être effectués par les USMP [car] les conditions de réalisation de ces actes ne sont pas toujours réunies en milieu pénitentiaire » : « spécialité non représentée au sein de l’unité », « infrastructure non adaptée ». |
La SFSD
|
La Société Française de Santé Digitale a pour objet de promouvoir la pratique médicale et de développer la recherche dans tous les domaines où la télémédecine et la santé numérique apporteront une valeur ajoutée à la prise en charge des patients. L'association entretient des relations de collaboration avec les Sociétés Savantes, les Fédérations Professionnelles et avec les Associations de Patients dont le mode de prise en charge peut bénéficier du développement de la Télémédecine et de la Santé Numérique.
(c) 2019 - SFSD
|